10 mai, Fontenay-sous-Bois

Commémoration des abolitions des traites et des esclavages dans le domaine colonial français.


mardi 28 février 2012

"Cultures secondaires, Guadeloupe"


Dossier Lameca
Exposition en collaboration
avec les 

Archives départementales
de la Guadeloupe

Vendredi 27 avril - Samedi 12 mai 2012


 Maison du citoyen
et de la vie associative
Mcdva
16, rue du Révérend Père Aubry
94120 Fontenay-sous-Bois
Val de Marne, Ile de France, France

Inauguration
Samedi 28 avril 2012

Rdv : 14:00 à la Mcdva

Espace : Véranda de la Maison du Citoyen et de la vie associative
Site : Maison Du Citoyen et de la Vie Associative, Mcdva

Contact
et accès : 01 49 74 76 90

Géolocalistion : OpenStreetMap 

La véranda vue de l'intérieur

L'exposition aura lieu sous la véranda avec vue des panneaux de l'extérieur et de l'intérieur.

Un espace numérique présentera sous formats numériques les expositions :
1. Les cultures secondaires à la Guadeloupe
2. Périssent les colonies plutôt qu'un principe qui faisait l'objet de notre exposition 2012 et qui est maintenant sous licence libre.


Le même jour, samedi 28 avril, auront lieu :

=> de 10:00 à 17:00
une journée du libre, à la Mcdva,  au cours de laquelle les visiteurs pourront s'initier
• au reconditionnement d'ordinateurs pour les associations
• à l'installation des distributions Emmabuntuns, Lemmabuntus, Ocarinabuntus



=> De 16:00 à 17:30
La diffusion du film "L'avenir est ailleurs"

Salle Irène Legal
Angle des rues Guynemer &  4, Fernand Léger
Quartier Bois Cadet
94120 Fontenay-sous-Bois

=> de  18:00 à 21:30
Une conférence débat :
Entre la ville et la campagne,
le partage des territoires et le pacte social
Fontenay-sous-Bois,
Valle del Marne,
Ile de France,
94130, France


samedi 25 février 2012

10 mai, thème 2012 : "Cultures en carrés"

Exposition
27 avril - 12 mai 2012

"Cultures secondaires en Guadeloupe",
Archives départementales / Société d'histoire de la Guadeloupe
A la Maison du citoyen et de la vie Associative 
Activité en ligne, sur Wikimedia Commons =>

Samedi 28 avril 2012 : Journée du libre


"Sciences humaines & sociales, licences & logiciels libres" 

Conférences

Entre la ville et la campagne le partage des territoires et le pacte social

  1. Les bons produits du terroir
  2. Des exodes ruraux pas comme les autres
  3. Nouvelles alliances, nouvelles pratiques

Culture, ce qui reste
SquareFootGardening
Jardinage en carré.
Projet reporté ?
Costumes de la Martinique
Juillet 2012 • Hall de l'Hôtel de Ville
Jumelage entre écoles : Fontenay-sous-Bois / Vieux-Habitants
Projet sur trois ans • Investissement : 1 000 euros par personne

lundi 20 février 2012

Esclaves = énergie = robot = facteur de production

L'Homme © 1983 EHESS
(c/o Jstor)
On connaissait l'ouvrage "Esclave = facteur de production. L'économie politique de l'esclavage." rédigé sous la direction de Sidney W. Mintz et dont la traduction en français par Jacqueline Rouah est parue en 1981 aux éditions L'Œil économique. Dans son compte-rendu de lecture, Laënnec Hurbon (1983), publié après la chronique bibliographique de Christian Deverre (1982)  nous disait : "Au départ, je me demandais ce qu'un ouvrage réunissant des articles parus ici et là, certains il y a dix ans, pouvait bien apporter de vraiment neuf sur l'esclavage. A la vérité, cette anthologie, conçue et préparée pour un public francophone, se révèle, à la lecture, d'une très grande actualité et fait ressortir par contraste l'indigence et le retard des recherches en langue française sur l'histoire de l'esclavage".

Nous savions que l'esclavage n'a pas disparu de la face du monde, qu'il s'est seulement métamorphosé comme décrit dans l'article d'Hervé Théry, Neli Aparecida de Mello Théry, Eduardo Girardi et Julio Hato, « Géographies du travail esclave au Brésil », Cybergeo : European Journal of Geography, Espace, Société, Territoire, article 541, mis en ligne le 23 juin 2011, consulté le 20 février 2012

Trajectoires d'esclaves
Brésil, 1995-2006.
La persistance de cas d’esclavage au Brésil, en plein XXIe siècle, met en lumière la contradiction profonde entre la maîtrise des technologies modernes acquise par ce pays et l’exploitation dont sont victimes des milliers de travailleurs brésiliens. Dans cette étude1, nous examinons les formes contemporaines de l’esclavage qui existent encore dans certaines régions rurales du Brésil, où les travailleurs exécutent des tâches pénibles dans des conditions inhumaines, sans recevoir un paiement approprié pour leur travail et surtout sans pouvoir le quitter librement. (Lire la suite)


Et voici que je découvre l'ouvrage de Jean-François Mouhot  "Des esclaves énergétiques : réflexions sur le changement climatique", préfacé par Jean-Marc Jancovici.

Jean-François Mouhot est docteur en histoire de l'Institut Universitaire Européen. Il est chargé de recherches à l'Université de Georgetown (Washington) et à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris. Son premier livre, Les Réfugiés Acadiens en France (1758-1785) (Septentrion, 2009) a obtenu le prix Pierre Savard 2010. Il connaît donc, en principe, l'esclavage du 18ème siècle auquel nous nous référons en général.

Jean-Marc Jancovici connaît, lui, la question énergétique : voir sa conférence "L'ingénieur face à la contrainte carbone - Quels défis pour le 21e siècle ?".

L'article de Fabien Locher, "L'Histoire face à la crise climatique", La vie des idées, revue en ligne, nous donne quelques clés de lecture de l'essai de Jean-François Mouhot. L'article nous conduit également à la critique.

Dans le premier, l’auteur discute des liens possibles entre l’utilisation d’esclaves en Amérique du Nord et dans les colonies des Caraïbes, et l’usage des combustibles fossiles coextensif à la « révolution industrielle » initiée en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle. Bien qu’il note que ce concept de « révolution industrielle » est aujourd’hui contesté – comme l’est, ajoutera-t-on, l’idée d’une origine purement anglaise du processus d’industrialisation, il justifie son emploi par la « nette rupture historique » que constitue le recours massif aux énergies fossiles expérimenté en l’Angleterre (p 28). Puis il aborde deux questions : le lien entre l’esclavage et ce qu’il appelle le « décollage industriel » anglais ; l’influence que l’essor de l’usage industriel des énergies fossiles a pu avoir sur la montée des revendications abolitionnistes et l’interdiction du travail servile. Le propos est très généralisant et s’appuie presque exclusivement sur des sources secondaires.

Ils n'ont pas été les premiers à rapprocher énergie et esclavage. Nous avons déjà présenté "Les servitudes de la puissance. Une histoire de l'énergie" par Jean-Claude Debeir, Jean-Paul Deléage, & Daniel Hémery, 1986.

Mais, nous ne connaissions pas jusqu'à ce jour l'esclave énergétique qui serait une unité de mesure de l'énergie, comparant une consommation d'énergie avec un équivalent de production mécanique qu'un adulte en bonne santé pourrait produire en un an. Le concept est utilisé dès 1944 par Richard Buckminster Fuller (1895-1983), architecte et philosophe.

1944- 2012... 68 de retard... Est-ce important ?

Pour ne pas aggraver le handicap, lisons de suite cet article "Guerre et commerce : indissociable" où nous rencontrons l'EROEI : pour faire simple, si vous prenez un humain de base et si vous parvenez à le faire travailler autant tout en lui donnant 2X moins fois de nourriture ou de confort (maison / terrain / liberté), vous augmentez son EROEI de 2 … en fait, vous venez tout juste d’inventer l’esclavage 

(et probablement que d’autres vont inventer la révolte aussi). Bien fait !

dimanche 12 février 2012

La méthode du jardinage en carré

Une méthode qui nous vient du fond des âges

Le jardinage en carrés

SquareFootGardening

 

 

 

 

 

Projet Csgd94120 10 mai 2012 : notre argumentaire

Société d'histoire 94120 Saint-George & Dalayrac (Csgd94120).
Maison du citoyen et de la vie associative
16, rue du Révérend Père Aubry
94120 Fontenay-sous-Bois

Csgd94120 propose à la ville de Fontenay-sous-Bois, dans le cadre des commémorations des abolitions des traites et des esclavages, autour du 10 mai 2012, de travailler sur le thème des cultures en carrés.
Le projet comporte :
1. la réalisation de 13 jardins en carrés, un par quartier de la ville. A quoi s'ajouteront 4 carrés réalisés par les Serres municipales et exposés lors de la journée "Nature en Ville", à côté de l'arbre à sucre et des diverses plantes tropicales cultivées dans la serre municipale.
2. Une exposition dont le noyeau nous vient des Archives départementales de la Guadeloupe "Les cultures secondaires à la Guadeloupe.
3. Une journée de conférence pour explorer la thématique
Ces propositions seront discutés lors de la prochaine réunion du collectif de préparation des commérations du 10 mai, à l'Hôtel de Ville de Fontenay-sous-Bois (invitation ci-contre).
Nourrir la Planète est notre problématique

Nous souhaitons soulever les questions corollaires d'énergie alimentaire, de répartition des ressources et des produits. Mais aussi faire avancer l'idée que nos civilisations peuvent utiliser les derniers développements des sciences et des techniques pour rétablir, au plus près de l'individu, l'équilibre entre l'énergie alimentaire produite et celle consommée en transformant certains espaces, y compris en ville, en jardin vivrier.

Nos objectifs : partager & collaborer
Mieux ressentir l'état de la question dans chaque société.
Mieux comprendre les besoins de chaque environnement.
Partager les connaissances qui se développent ici ou là sur la Planète.

Cultiver son jardin, c'est perpétuer la solidarité entre les Humains
La solidarité, dépendance mutuelle entre les êtres humains, existant à l'état naturel et due au besoin qu'ils ont les uns des autres, c'est mettre l'accent sur le partage historique entre les cultures humaines dont le développement repose sur la continuité alimentaire dans l'espace planétaire et à travers les temps.
Jeune prince & derviche dans un jardin persan
L'encyclopédie Wikipédia, qui est le résultat d'un vaste jardinage intellectuel à travers la Planète, nous apprend que l'art du jardinage, voire l'art tout court, nous vient du Croissant fertile, et plus particulièrement de la Perse, :
"Les jardins persans (l'art perse en général) auront une considérable influence sur le monde greco-romain via la conquête de la Perse par Alexandre le Grand, et la conquête du Proche-orient par les romains sous Lucullus et Pompée. Les jardins du moyen-age seront une fusion de l'héritage romain et celtico-germanique, reprenant la structure du jardins romain, et ornementés de charmilles, plessis, haies plessées et de treilles. La renaissance verra le renouveau des jardins romains. Après la découverte de l'Amérique et grâce au contact commercial avec l'extrême orient, de nombreuses plantes exotiques sont importées en Europe, notamment par John Tradescant le Jeune."

Même si ce récit reste très européo-centré ; même si cette page appelle des développements futurs, nous voyons bien le mouvement de migration des techniques du berceau de l'Humanité vers son centre à l'époque moderne. Les nouvelles technologies scientifiques, industrielles et de la communication provoquent aujourd'hui une vaste redistribution de l'héritage de l'Humanité. 


Créer son carré de cultures, c'est communiquer via le Worl Wide Web
L'Afrique marque son essor actuelle avec la production de sa première tablette numérique tactile grâce à un partenariat gagnant-gagnant Afrique/Chine.

Du miel et des abeilles

Pour la maîtrise des sciences de la nature et de l'agriculure

Le maïs transgénique MON810 sera dans les champs fin février 2012, son pollen est impropre à la consommation humaine. En 2011 les apiculteurs espagnols se sont retrouvés avec du miel invendable, en France c'est pour ce printemps 2012...


Small is beautiful _ 3/6 par Darwin_Kayser

Du rôle de la pollinisation dans la chaîne alimentaire humaine

Extrait de l'article "Pollinisation" de Wikipédia

Importance de la pollinisation pour l'agriculture[modifier]Plus de 70 % des cultures (dont presque tous les fruitiers, légumes, oléagineux et protéagineux, épices, café et cacao, soit 35 % du tonnage de ce que nous mangeons) dépendent fortement ou totalement d'une pollinisation animale. 25 % des cultures pourraient s'en passer, mais il s'agit essentiellement de blé, maïs et riz. Pour 5 % des plantes cultivées, les scientifiques ne savent pas encore si elles dépendent ou non de pollinisateurs6.
9 cultures ont été étudiées sur 4 continents ; l'étude a conclu que l’intensification de l’agriculture menacait les communautés d’abeilles sauvages et leur action stabilisatrice sur le service de pollinisation y compris d'espèces non cultivées6.
Plusieurs études visent à quantifier la valeur économique des pollinisateurs pour l'agriculture 7, calcul qui n'a pas de sens pour la biodiversité sauvage.
Des publications scientifiques ont fait état d’une valeur de l’ordre de 50 milliards d’euros au plan mondial. En France, peu d'études ont tenté ce calcul, mais certains experts avancent une valeur proche de 10 % de la valeur de la production agricole, avec d'importantes variations selon les cultures considérées, et sachant que le coût de la diminution de la biodiversité n’est pas pris en compte par ce type de calcul8.

Déclin des pollinisateurs... Quelles conséquences ?

Avec le recul de nombreuses espèces de pollinisateurs et en particulier des papillons et des abeilles (victimes d'un « syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles » encore mal expliqué), certains experts craignent une baisse des rendements agricoles (déjà localement observée mais faisant probablement intervenir d'autres facteurs) et des impacts en cascade chez les espèces sauvages. La généralisation des pesticides et de possibles synergies avec d'autres polluants ou divers facteurs environnementaux sont suspectées d'être la cause de la régression des pollinisateurs.
Les résultats globaux de l'agriculture ne semblent pas encore très affectés9. Le recul de la diversité des pollinisateurs s'accompagne aussi d'une moindre efficacité de la pollinisation et de baisse de rendements (des caféiers par exemple). Cette tendance inquiète certains spécialistes10 car dans le même temps, dans le monde, les agriculteurs cultivent moins de plantes autopollinisables (céréales notamment) et plus de plantes dépendant des pollinisateurs, surtout dans les pays riches.

La régression des pollinisateurs pourrait être un des co-facteurs explicatif de l'augmentation des allergies au pollen (en ville notamment, car les pollens y sont moins collectés, y sont mal fixés, à cause de l'imperméabilisation et du manque de végétation ; les pollens s'y dégradent, deviennent plus allergènes et sont souvent et facilement remis en suspension dans l'air).

En collaboration avec les logiciels & licences libres

Aucun rapport ?

Webgraphie

  1. Union Européenne : le miel contaminé par des OGM ne peut être mis sur le marché sans autorisation spécifique =>
  2. Les insectes pollinisateurs, une «aide» non négligeable
    Pour la première fois, des chercheurs ont calculé à quelle hauteur le travail des abeilles et d'autres espèces sauvages contribuaient à l'économie mondiale.
  3. Economie de la pollinisation, Yann Moulier Boutang


    REGARD 055 - L'ABEILLE ET L'ECONOMISTE - RLHD.TV par regardezleshommesdanser

    Smal is beautiful

    • Un ouvrage d'économie publié en 1973 : Small Is Beautiful: A Study Of Economics As If People Mattered1 est une collection d'essais de l'économiste britannique Ernst Friedrich Schumacher éditée en français par Contretemps / Le Seuil sous le titre Small Is Beautiful - une société à la mesure de l'homme.

      Chapitre 14 - Le problème du chômage en Inde

      « Se trouver dans l'impossibilité de gagner sa vie en se suffisant à soi-même est pour l'homme ce qu'il y a de plus frustrant. »
      Un des enseignements du Bouddha était l'obligation de planter un arbre chaque année et d'en prendre soin. Si chaque Indien suivait ce conseil, au bout de cinq ans 2 milliards d'arbres seraient plantés, dont la valeur économique serait supérieure à ce que tous les plans quinquennaux de l'Inde ont jamais promis, et cela sans un centime d'aide étrangère.


    • La vidéo, diffusée en 6 parties sur Dalymotion

    Small is beautiful _1/6 par Darwin_Kayser

samedi 4 février 2012

Le projet 2012 : Cultures en carrés

Jardinage en carré & énergie

Énergie primaire

Énergie alimentaire

L'énergie alimentaire est l'énergie provenant de l'ingestion d'aliments.

L'article de Wikipédia, énergie alimentaire, est une ébauche concernant l’énergie.
Csgd94120 vous invite à partager vos connaissances en améliorant cet article selon les recommandations des projets correspondants. Des séances de formation à la rédaction sous Wikipédia seront organisées aux mois de mai et juillet 2012 à Fontenay-sous-Bois.
Sucre & miel, Canne à sucre, sucre de betterave
Énergie humaine
Énergie animale

Biomasse (énergie)

Elaeis guineensis
Palmier à huile Parc du Grand Blottereau
Serres tropicales - Nantes (France)

Énergie renouvelables

Energie éolienne

Energie solaire

Solar land area
Energie solaire potentielle (planisphère).

Énergies fossiles

Energie nucléaire

Centrales Nucleaires fr
Centrales nucléaires dans le monde
Une centrale nucléaire est un site industriel qui utilise la fission de noyaux atomiques pour produire de la chaleur, qui produira de la vapeur d'eau, laquelle entrainera la rotation d'un générateur producteur à son tour d' électricité. C'est la principale mise en œuvre de l'énergie nucléaire dans le domaine civil.

Chronologie des premières mises en service

27 juin 1954 : L’URSS est le premier pays à produire de l’électricité
nucléaire en ouvrant la première centrale à Obninsk
1956 : La Grande-Bretagne ouvre sa première centrale nucléaire
1963 : La France, inaugure son ère nucléaire avec la centrale atomique de Chinon
26 mars 1971 : mise en service mise en service de centrale atomique Fukushima I .

Quelques catastrophes nucléaires

Chronologie Lintern@ute Histoire.
1986 : Catastrophe nucléaire de Tchernobyl en Union Soviétique.
11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d'un tsunami provoque une catastrophe nucléaire dont l'ampleur n'est pas encore bien mesurée.

Voir la liste des accidents nucléaires sur Wikipédia.


Le Samedi 4 février 2012 à 21:48,  Fukushima a publié sur son blog
"HumanError, le cri de révolte du Japon contaminé"

Fukushima nous invite à une parade mondiale à l’occasion du premier anniversaire de la catastrophe, désirant accompagner et amplifier la vague massive de résistance à l'énergie nucléaire et de soutien aux survivants.
 
Samedi 10 & dimanche 11 mars 2012, aura lieu la « HumanERROR One Million Person Parade ».
 
Fukushima est un blog consacré entièrement à la catastrophe nucléaire de Fukushima et à ses répercussions au Japon et dans le monde.